SouhaitAh ! Comme je la voudrais câline ! Douce. Comme un poème de Paul Verlaine Intemporel. Bleu ; son clin d'œil me fait oublier Que Les mains dans les poches, la tête baissée Dans la ville Mes idées sont comme les marées noires. Et quoi dire de sa voix ! Je n’écoute pas ; seulement Son rire… Son rire si beau. C’est beau. Quand je rêve ce que j’aime. Câline pour ne plus grandir Rester inachevé contre la virilité qui fige Que sa caresse éveille… Mais on me dit maintenant Il est temps de cesser de rêver.
février 1997 |
Abdelkrim T'ngor © 1997 - 2025
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