A chaque soubresaut du fiacre, sa poitrine se soulevait. Poitrine généreuse, surplombée d’un cou ravissant. Un chaos plus important que les autres, la fit basculer sur mes genoux. Les Dieux étaient avec moi ! En voulant la retenir, mes mains en avant rentrèrent dans son corsage. Etant seuls dans la place, elle gloussa quelque peu, mais très vite, s’en accommoda.

Et de manière à mieux se retenir, elle en profita pour me passer ses mains autour de ma taille. Le cocher, n’en faisant qu’à sa tête, invectivait ses chevaux afin que ceux-ci n’avança davantage. Le résultat fut, qu’après de multiples embardées, nous nous retrouvâmes culottes et mains liées.

Morale de l’histoire, toute galère est bonne à condition d’être bien accompagné.

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