Fiche de l'œuvre

Les effets pervers de la technologie... Nous sommes au printemps et je vois tant de jolies filles apprêtées et qui pourtant se murent derrière leur MP3, leur téléphone portable pour éviter de répondre à mon sourire ou de me regarder quand je viens leur parler... Parce que je les agresse, je les distrais une seconde de leur véritable nature de consommatrices, elles communiquent avec l’au-delà ou leur ami imaginaire… Ce sont ces mêmes filles que je croise sur le net, sur facebook, sur des sites de rencontre qui devraient être rebaptisés site de solitude. Mais les hommes ne sont pas mieux, au final. Nous sommes connectés 24h/24h (à la matrice ?) et jamais nous nous déconnectons... Nous sommes des no-life permanents.