O mon homme, que ne t’ai-je tant aimé,
Au delà de ton corps et de nos passions,
Flammèches sensuelles à ton êtres donnés,
Rivière d’amour sur fleuve de raison.
O mon homme, que nous est-il arrivé,
Nos regards si souvent complices,
Moi transit et toi par tes amis occupé.
Pourquoi m’as-tu infligé ce supplice.
O mon homme, pourquoi siffles-tu,
Lorsque je te demande des explications
Et que du haut de ton regard ténu,
Tu trouves toujours de bonnes raisons.
O mon homme, que fais-tu dans ma maison,
Ton corps et ta voix aujourd’hui y sont haïs,
De tes larmes je ne ressens qu’aliénations,
N’ayant pour toi, l’incommensurable mépris.