Aube verte A Sophie P. L’étreinte rose De ta peau nacrée A enflammé mon corps Dans cette alcôve mauve Où raisonne encore l’écho blanc de tes soupirs Si patiente L’extase grisante De nos âmes bleues mêlées A submergé mon cœur devenu transparent Pour toi seule Et tes yeux verts Au matin Ont eu enfin raison de mes idées noires. mars 2008 |